jeudi 31 août 2017

Focaccia façon pizza à l'ajvar, mozzarella et olives noires.

Et oui, j'ai une relation particulière avec le pain. Toute sorte de pains! Je pourrais me nourrir exclusivement de ça! Bon, le côté moins drôle c'est qu'il n'est pas un allié minceur. 
Ceci dit, c'est un plaisir pour moi de cuisiner et de tester des nouveautés. 
Aujourd'hui je vous propose une focaccia aux olives noires, agrémentées d'ajvar (condiment originaire des Balkans - nous sommes partis de nombreuses fois dans les Balkans et nous en sommes réellement tombés amoureux - c'est à base de poivrons, de piment et d'ail. Ici j'ai acheté de l'ajvar tout fait, mais je compte vous proposer une recette maison prochainement), de mozzarella et d'olives noires. 

Pour la recette, je vous propose de suivre les instructions de ma recette de focaccia au gros sel et romarin, mais au moment où vous mettez le romarin dans la pâte, vous devez le remplacer par les olives noires. Vous pouvez couper en petits morceaux 8 olives noires et les parsemer dans la pâte avant de la faire pousser. Pour le reste, suivez chaque étape de la recette normale. 
Ingrédients pour la garniture: 

7 olives noires coupées en deux
1 boule de mozzarella 
Une poignée de graines de sésame
1 petit pot d'Ajvar (vous pouvez remplacer par du coulis de tomate)

Préchauffez votre four à 200°C. 
Une fois la pâte levée, étalez là sur une plaque garnie de papier sulfurisé et laissez là reposer de nouveau 15 minutes. 
Badigeonnez ensuite la pâte d'ajvar, vous pouvez être généreux! Coupez des rondelles de mozarella que vous dispercerez sur le dessus, saupoudrez de graines de sésames et des olives noires. Enfournez ensuite pour une vingtaine de minutes. 
Dégustez chaud. Vous pouvez également couper la focaccia en deux et la garnir de fromage, de roquette ou de jambon par exemple (et pourquoi pas tout en même temps...).
A bientôt pour de nouvelles aventures... gourmandes!


vendredi 25 août 2017

Notre Trekking au Népal; Tour des Annapurnas Part I.

Nous avions choisi la destination du Népal dans le but d'y faire le tour des Annapurnas. Un trek qui dure entre 10 et 20 jours dépendant de ce que vous désirez faire après le passage du col Thorong-La. 
Afin de pouvoir faire ce trek, nous avons du faire plusieurs papiers. Pour cela vous devez vous rendre à un touriste center (pour trekker) situé près du Ratna Park. Là bas vous devrez remplir un document avec vos informations et ce que vous désirez faire. Vous devrez fournir 4 photos d'identité en tout. Vous devez payer deux choses; L'entrée du parc et le permis de trekker (TIMS) dans le secteur de l'annapurna. En tout comptez 80$ par personne! Ils vous fourniront une carte verte avec votre photo (TIMS) ainsi qu'un autre document qu'il faudra bien conserver car on vous le demandera régulièrement durant tout le trek. (Il n'est pas forcément évident de comprendre dans quel ordre faire les choses une fois arrivés à l'office, mais pour ces deux papiers, il faut se présenter à deux bureaux différents. N'hésitez pas à demander au personnel dans quel ordre faire les choses). 
Avant de vous parler du trek, je vais vous parler de quelque chose de très important pour le réaliser: Le sac que vous porterez!
Je vous conseille un sac à dos de 60L. Ce que je vous conseille c'est de l'aléger un maximum. On fait tous l'erreur de vouloir prendre plus que besoin en pensant "au cas où" mais pour l'avoir vécu, je peux vous dire que le plus dur dans ce genre de trek, c'est le poids de votre sac, donc vous préfèrerez n'avoir que 2 t shirts à laver chaque jour que d'en porter 10 qui vous pèseront. 
Ce que nous avons emporté avec nous: Un sac de couchage chacun, une paire de bâtons de marche (vous pourrez en trouver là bas à des prix raisonnables comparé à chez nous mais méfiez vous des arnaque et surtout faites plusieurs boutiques avant d'acheter quoi que ce soit, car vous trouvez toujours moins cher et surtout n'hésitez pas à marchander un maximum!!!), 5 t shirts, 8 sous vêtements, chaussettes chaudes, 1 short, 1 pantalon, 1 veste pour la pluie, bonnet et gants, une paire de baskets de marche (le mieux est peut-être d'emporter une paire de chaussures de marche mais elles sont relativement grosses et lourdes et je préfère largement marcher en bonne paire de basket), trousse de toilette - brosse à dent - savon - shampoing - dentifrice - gant de toilette - protection solaire - baume à lèvre et antisceptique). La chose à emporter impérativement: Des lingettes humides (ca sera un allié de taille là haut, croyez moi). Nous nous sommes servis de tout là bas.  Le petit plus qui dépanne: les Immodium et/entérol ainsi que des Dafalgans et/ou Ibuprofene
J'ai bien sûr ajouté à cela mon apparaeil photo avec deux objectifs. Il faut le vouloir, car le poids de l'appareil photo n'est pas négligeable mais pour moi il était impossible de faire un pareil trek sans l'emmener. 
Nous commençons donc l'aventure en prenant un bus de Kathmandou jusqu'à Dumre (l'hôtel où nous étions a fait le necessaire pour nous, nous n'avions donc plus qu'à nous rendre à la gare des bus pour 6h30. Cependant, le coût demandé était plutôt élevé, essayez toujours de négocier car je le répète, ce pays est le meilleur en terme d'arnaques! Nous avons payé 800 roupies chacun, ce qui fait plus de 6€. Et avons du payer encore 200 roupies chacun au conducteur à Dumre). Le trajet durera un peu plus de 5h. De Dumre, nous avons eu un bus directement pour Besi Sahar. Le trajet fut tumultueux. Nous étions secoués dans tous les sens, le conducteur avait mis de la musique Népalaise à fond tout le long du chemin mais nous sommes finalement arrivés dans les environs de 16h décidons donc d'y dormir et de commencer le trek le lendemain, sachant que le soleil se couche dans les alentours des 18h15. 


L'hôtel où nous nous arrêtons (8€ la nuit) est très vétuste. La "salle de bain" ou devrais-je dire salle d'eau est dans un état déplorable. Pas d'eau chaude, toile d'arraignées partout, WC très sale. Internet de nouveau médiocre (mais on ne comptait déjà plus dessus donc on ne s'y est pas trop attardé). Le personnel de l'établissement était plus qu'antipathique et faisait semblant de ne pas comprendre l'anglais lorsque cela les arrangeaient. Ils nous demandaient de payer pour notre papier toilette. Un comble quand on paye déjà une chambre plus que ce qu'elle n'en vaut! (Je vous le dis, les lingettes seront vos alliées ;))

Pour manger, vive les arnaques! Ils augementent leur prix du double comparé à la capitale, car ils savent que les voyageurs n'ont pour la plupart pas le choix que de rester une nuit là bas, donc ils en profitent! Nous avons aussi eu droit à notre première coupure de courant (et cela pendant le repas), qui s'est produite à 3 reprises. 
Afin de ne pas faire des articles de 700 lignes qui vous décourageront de lire, je vous propose un autre article avec le compte rendu de notre trek en entier. 

jeudi 17 août 2017

Tourbillons briochés noisettes, Nutella et chocolat blanc.

Bonsoir à tous, je sais pas chez vous, mais en Belgique la météo n'est vraiment pas clémente du tout. On vit un vrai temps automnale, en plein été! Et moi, ce temps-ci, ça me donne juste envie de rester au chaud sous les couvertures à regarder de bons petits films et surtout de manger des bonnes pâtisseries au chocolat, tout juste sorties du four! 
J'ai donc eu l'idée de réaliser des brioches tourbillons fourrées au chocolat blanc et à la célèbre pâte à tartiner à la noisette. Vous pouvez facilement modifier le nutella par une autre pâte à tartiner (comme du spéculoos par exemple, c'est une très très bonne association avec le chocolat blanc). 

Sans plus tarder, voici la recette: 
Ingrédients pour 8 brioches:

350gr de farine 
70gr de beurre fondu
1 cuillère à soupe de levure de boulanger déshydratée
40gr de sucre en poudre
175ml de lait 
une pincée de sel
2 cuillères à soupe de nutella 
50gr de chocolat blanc 
Des noisettes concassées
1 œuf pour la dorure

Préparation:

Dans le bol de votre robot pétrisseur, versez le lait à température ambiante, le beurre fondu, la farine, la levure, le sucre et la pincée de sel. Pétrissez à faible vitesse pendant 1 minute, ensuite pétrissez en vitesse 3 jusqu'à ce que la pâte forme une boule homogène. Elle doit paraître un peu lisse et élastique. Couvrez ensuite le bol du robot et laissez pousser durant 1h-2h dans un coin "chaud". 
Quelques minutes avant d'utiliser votre pâte, faites fondre le nutella ainsi que le chocolat blanc au micro onde. (Vous pouvez utiliser une pâte à tartiner au chocolat blanc type Kwatta si vous le désirez). Une fois que c'est fondu, laissez un peu refroidir et pendant ce temps, étalez la pâte en rectangle sur 3-4mm et enduisez la surface de la pâte de nutella et de chocolat blanc. Personnellement, je commence par le chocolat blanc (plus liquide) ensuite je mets le nutella par dessus. Parsemez les noisettes concassées par dessus et repliez les bords de la pâte vers le centre, puis de nouveau repliez en deux. Etant donné que le nutella et le chocolat blanc sont un peu chauds, vous aurez une pâte très, trop souple pour la retravailler tout de suite. Je vous conseille donc de laissez refroidir un peu afin d'avoir une pâte plus facile à travailler. (vous pouvez filmer la pâte et mettre une dizaine de minutes au réfrigérateur).

Quand la pâte a refroidi, aplatissez de nouveau la pâte en rectangle (forme de départ), vous risquez d'avoir un peu de chocolat qui sort mais ce n'est pas grave.
Après avoir étalé votre pâte, découpez des lanières de plus ou moins 3cm de large, vous pourrez normalement en faire entre 8 et 10. Une fois les lanières obtenues, entaillez chaque lanière dans la longueur, le dessus doit rester soudé sur plus ou moins 2 cm, ensuite commencez à entailler, jusqu'au bout de la lanière. Torsadez ensuite la lanière de gauche avec la lanière de droite (comme une tresse à deux brins), et puis enroulez le tout comme un escargot.
Faites la même manœuvre pour chaque lanières et posez chaque tourbillons sur une plaque allant au four couverte de papier sulfurisé après quoi vous les laisserez lever une trentaine de minutes. Pendant la levée des tourbillons, préchauffez votre four à 180°C. 
Battez l’œuf et badigeonnez-en sur chaque tourbillons puis enfournez pour 15-20 minutes (dépendant de votre four). 
A déguster à la sortie du four. Pour les plus gourmands, vous pouvez réaliser une petite sauce chocolat blanc ou tout simplement tremper la moitié du tourbillon dans du chocolat blanc fondu. Cela donnera une autre texture à la brioche! 

Bon appétit!

mardi 8 août 2017

A la découverte du Népal part I.

Comme je l'avais déjà dit dans un ancien article, nous sommes partis mi-mars de Bruxelles en direction du Nepal. Je vais vous expliquer aujourd'hui les démarches faites pour obtenir un visa de séjour et combien cela nous a coûté. Je vais séparer ce voyage en plusieurs parties car nous sommes restés un mois là bas et avons fait le trek de l'anapurna, cela va donc prendre  du temps de tout vous raconter. Nous avons réservé nos billets d'avions via le site web Edreams (site web qui recherche les meilleurs offres à travers un tas de compagnies aériennes) et le billet d'avion nous a coûté un peu plus de 400 euros chacun juste pour l'aller. 

A notre arrivée à l'aéroport nous avons du remplir plusieurs documents afin d'obtenir notre visa. Cette étape vous prendra au minimum une demi heure car la plupart des gens font leur visa sur place aussi. Il faut se munir d'une photo d'identité qu'ils garderont. Le prix du visa pour 30 jours coûte 40$ (+/- 35euros).
La prochaine étape est de sortir de l'aéroport afin de nous rendre dans le centre de Kathmandou. Nous avions réservé un hôtel situé dans Thamel pour les deux premières nuits. Afin de payer le bus qui nous y emmènera, nous avons du échanger un peu d'argent à l'aéroport (chose que nous ne faisons normalement jamais car nous y perdons malheureusement toujours beaucoup trop au niveau du taux de change!). Le minimum pour échanger était de 20 euros. Nous n'étions déjà pas ravis de devoir échanger autant là bas. Mais quelle fut notre surprise lorsque nous nous rendons compte que dès notre arrivée les arnaques commencaient déjà.. En réalité, au moment de nous donner les roupies, mon compagnon fait mine de recompter ce que l'homme lui avait donné et à ce moment, ce dernier (sans même lui avoir encore dit quoi que ce soit) a tenté d'expliquer en anglais qu'il s'était trompé en faisant le change et nous a rendu des roupies (il avait tenté de nous arnaquer de la moitié de la somme!). Pensez donc toujours à faire le calcul vous même au préalable afin de savoir combien vous devez avoir et recomptez toujours ce qu'on vous donne avant de quitter l'endroit car en terme d'arnaques je pense qu'ils sont experts! 
Cette épreuve passée, nous prenons donc le bus. Un bus qui chargera jusqu'au bout malgré le fait qu'il soit rempli.. Si il pouvait mettre des gens sur le toit il le ferait. Nous avons fait une jolie rencontre durant ce trajet de bus, un Népalais très sympathique qui nous aidera par la suite à trouver notre hôtel. 
Avant de parler de l'hôtel, je parlerais de l'atmosphère que nous avons ressentie en arrivant dans les rues de Kathmandu. Première chose frappante, la saleté! On se rend compte que la poussière jonche les routes, les trottoirs, l'air.. Il y fait presque irrespirable. On peut également remarquer un voile de pollution dans le ciel. 
Malgré cela, on se met dans l'ambiance de la ville et essayons de positiver. L'arrivée à l'hôtel ne fut pas une bonne surprise. La propreté est vraiment déplorable. Les matelas de nos deux minuscules lits sont en réalité des planches en bois avec un semblant de matelas de 15 cm de profondeur. L'internet y est catastrophique (cela n'est pas dramatique, mais lorsque vous en avez besoin pour faire des réservations pour les prochains jours, cela peut s'avérer problématique). Mais on relativise, ce n'est que pour deux nuits et nous partons ensuite pour le trek de l'annapurna... (Nous étions bien au courant des conditions de vie au Népal, mais nous nous attendions à un peu mieux comparé au prix payé pour cet hôtel car 10€ par nuit dans ce pays est déjà beaucoup!)

Malheureusement, malgré notre positivité, les deux nuits passées là bas ont été un réel calvaire. L'hôtel était en réalité situé juste au dessus d'un café "branché" qui mettait la musique à un niveau vraiment très élevé. On pouvait entendre distinctement la musique de notre chambre. Nous avons même eu droit à un petit concert-karaokè privé.. Hum. Le nom de cet hôtel est: l'hôtel Nana, situé au cœur de Thamel (les photos vues sur Booking sont totalement fausses comparé à la réalité des chambres et de l'hôtel en lui même!). Je vous le déconseille très fortement si vous désirez passez de bonnes nuits de sommeil avant d'entreprendre un trek. Par contre si vous aimez faire la fête et vous amuser, alors pourquoi pas. Vous pouvez apprécier l'ambiance du café à disposition. 

Côté nourriture, je vous conseille de vous éloigner des rues principales de Thamel si vous voulez bien manger ET à un prix correct. Nous sommes allés le premier jour dans un restaurant qui paraissait propre. Malheureusement la qualité  de la nourriture n'y était pas. Le prix étant exorbitant pour très peu dans l'assiette et pas très goûteux. Pas grand chose proposé à la carte. Un Dal Bhat coûtant 500 roupies quand on savait pouvoir en trouver dans les 150-200 roupies grand max.
On va dire que nos premiers jours à Kathmandou ne fut pas extraordinaires, mais on se dit que c'est du au fait que c'est la capitale. Que les visites dans les petits villages et surtout le trek se passeront différemment.. 
Le lendemain, nous avons décidé de nous ballader un peu dans Kathmandou et de nous écarter du centre de Thamel, nous ne savions pas trop où aller pour manger, décus de notre repas de la veille, nous voulions à tout prix éviter le même type de restaurant. Nous avons eu la chance de sympathiser avec un commerçant qui nous a conseillé un petit bar (propreté de nouveau très douteuse mais là bas il faut arriver à faire abstraction de ça), nous avons eu une super surprise car le repas était vraiment très bon, nous avons pris le célèbre Dhal Bat, il ne nous a coûté que 150 roupies et il était très savoureux (en revanche pour les intestins sensibles, attention aux piments). 
Nous sommes aussi partis faire les papiers necessaires pour le trek (je vous expliquerai tout en détails concernant ce point dans un prochain article). Une fois tranquille côté papiers, nous avions vraiment envie de voir des singes, c'est donc tout naturellement que nous sommes partis en direction du temple Swayambhunath situé sur les hauteurs de Kathmandou. Nous avons pu voir des singes bien avant d'arriver au temple. C'était un moment magique de se retrouver si près d'eux. Ils se cachaient dans une petite rue piétone, devant une école maternelle, les enfants étaient amusés de nous voir admirer les singes, mais aussi de voir deux personnes si différentes d'eux. 
Pour accéder au temple, vous devrez monter de nombreuses marches, sur le chemin, beaucoup de vendeurs ambulants nous accostent pour tenter de nous vendre tout et n'importe quoi. Il faut être très sec pour leur faire comprendre que cela ne vous intéresse pas car ils ne comprennent pas vite lorsque l'on dit non! 

Beaucoup de crasses sont jetées sur les côtés des escaliers. Des chiens errant jonchent le sol comme morts. Les Népalais ne s'occupent pas vraiment des chiens et les laissent crever de faim. Vous découvrirez des centaines de singes, de toutes les tailles. Si vous désirez photographier des fidèles de l'endroit, ils vous demanderont de l'argent en échange. Nous avons eu le cas et ça enlève la magie du lieu. Une fois arrivés tout au dessus, un garde nous informe qu'il faut payer si nous souhaitons rentrer. Le prix étant de 200 roupies (juste pour les étrangers) les népalais ont l'entrée gratuite. 
Le prix est démocratique, nous payons donc et décidons de découvrir ce temple majestueux. Nous avons eu droit ce jour là à un rassemblement de jeunes népalaises qui nous ont offert une danse. Nous avons passé un beau moment malgré la pollution dérangeante. 
Après ce jour complet, nous sommes rentrés à l'hôtel pour reprendre une bonne douche à moitié chaude car le jour suivant nous partions très tôt en quête de l'Annapurna, périple à suivre dans un prochain article.


samedi 5 août 2017

La recette des vraies gaufres de Liège.

Tout bon Belge qui se respecte connaît la gaufre de Liège. La vraie! On en est tous fan. Et même les touristes l'adorent lorsqu'ils la goûtent! 
Sans plus attendre je vous présente ici la recette. Vous pouvez les faire natures ou les recouvrir de chocolats pour plus de gourmandises...

Ingrédients pour 15 gaufres:

500gr de farine de blé 
250cl de lait 
125gr de beurre mou 
1 sachet de levure déshydratée de boulanger 
5 cuillères à soupe de sucre roux
1 demi cuillère à café de sel 
2 gros oeufs 
1 bonne cuillère à café de cannelle
Du sucre perlé 
Préparation: 

Dans le bol de votre robot, versez la farine mélangée à la levure de boulanger, le lait, les oeufs, la cannelle, le sel et le sucre. Pétrissez le tout jusqu'à ce que la pâte forme une boule. Une fois fait, ajoutez le beurre mou en plusieurs fois. Pétrissez de nouveau plus ou moins 5 minutes. Couvrez ensuite la pâte d'un torchon, et laissez la pousser durant 3 heures minimum. (La texture de la pâte est collante!).

Une fois que la pâte a doublé de volume, ajoutez plusieurs poignées de sucre perlé. Vous pouvez en mettre en grande quantité car plus il y aura de sucre et plus il va caraméliser à la cuisson. Mélangez bien pour qu'il y ait du sucre dans toute la pâte. 
Retirez ensuite de la pâte des boules de taille moyenne et posez les sur une plaque de cuisson garnie de papier sulfurisé. Laissez ensuite reposer durant 20 minutes car les boules vont encore pousser. 
Faites chauffer le gaufrier avec un peu de beurre afin que les gaufres ne collent pas à l'appareil après cuisson. Placez ensuite une boule dans chaque moule et faites chauffer durant 5 minutes minimum (tout dépend de chaque gaufrier. Vous devez vérifier la cuisson de temps en temps en ouvrant l'appareil. Les gaufres doivent être dorées, un peu caramélisées). 

Pour un côté plus gourmand, faites fondre du chocolat blanc ou au lait, au bain marie et nappez la surface de chaque gaufre. Bon appétit!